Listen to Vacances à Paname by Kent

Vacances à Paname

Kent

Pop

114 Shazams

Music Video

KENT - Vacances à Paname - Home Tour #48
Watch {trackName} music video by {artistName}

Featured In

Credits

PERFORMING ARTISTS
Kent
Kent
Performer
COMPOSITION & LYRICS
Kent
Kent
Composer
Jacques Bastello
Jacques Bastello
Composer
PRODUCTION & ENGINEERING
MITCHELL FROOM
MITCHELL FROOM
Producer

Lyrics

C'est une voiture qui brûle sur le flanc d'une autoroute Il n'y aura pas d'océan au bord du mois d'août Retour à la capitale des gamins qui jouent au foot Dans le désert d'une impasse à Paris au mois d'août Dans le quartier délaissé par le surnombre des villes La vie reprend liberté entre deux automobiles Les toits changent de couleur sous un soleil déridé Les rues se marrent de bon coeur dans toutes les langues parlées On peut à nouveau marcher en sortant les mains des poches Enfin desserrer les poings enfin se sentir moins moche Et quelle bénédiction finalement ce contretemps Cette voiture en fusion c'est la fin d'un châtiment Et dans le dernier soupir d'un faux-fuyant qui rend l'âme Éclot déjà le sourire de belles vacances à Paname Juste des rues et des places des yeux qui tissent une trame Sur le doré d'un dos nu en vacances à Paname Le mois d'août est un cim'tière ou bien une guerre civile Ça dépend du bleu des mers des fins de mois difficiles Les riches partent en croisière dans une saison tranquille Au front de l'imaginaire du petit monde immobile À quoi bon pourtant languir sur de lentes autoroutes À la pêche aux souvenirs sur les plages du mois d'ao0t Pour se noyer dans la foule quand on rêve d'abordage Alors que Paris se saoule d'une planète en voyage Et dans le dernier soupir d'un faux-fuyant qui rend l'âme Éclot déjà le sourire de belles vacances à Paname Juste des rues et des places des yeux qui tissent une trame Sur le doré d'un dos nu en vacances à Paname Échanger des mots chantés dans un sabir innocent Oublier d'être méfiant ou bien timide oublier Tous les conflits politiques au nom de nos territoires Dans le sillon d'une idylle qui naît sur un trottoir Et puis le soleil couchant assis au bord de la Seine Scintillant comme le sang qui bout déjà dans nos veines Et cette épaule qui touche un point final qu'on redoute Quelle suite à un baiser à Paris au mois d'août
Lyrics powered by www.musixmatch.com
instagramSharePathic_arrow_out