Tout seul sur la plage avec une femme ivre d'amour
On s'embrasse à perdre haleine
Sa bouche qui clame et glisse le long de mon coup
Sa langue remplace cette main agile
Que je désire de tout mon être
Femme du Soleil, femme des rives profondes
Beauté naturelle, couleur de nos amours
Je médite sur tes œuvres
Aux louanges de tes mains me cognent dans la tête
Mon âme soupire après tant de saccharose
Tes mains me cherchent, deviennent insistantes
Je palpite comme un oiseau mourant
Ce qui me fait dire mes premiers mots d'amour
Femme classique, femme des rubriques
Moi qui n'ai ni cœur, ni tendresse
Je m'entends gémir, je me sens envahi
Ce qui augmente les tiges de mon vertige
Femme aux fleurs, femme des îles, belles fleurs
Beauté naturelle, anges de nos humeurs
Oh Capré Campeche
Prends-lui la main et danse avec elle cette nouvelle vague de salsa
Qui vous fera du bien pour le reste de votre vie
Souviens-toi un peu de celle que tu appelais reine de la beauté africaine
À présent, tu parles d'elle comme sans atouts
Les grands diseurs ne sont pas de grands faiseurs
Et l'apparence n'est pas réalité
Pendant que la porte est ouverte, fait demi-tour
Femme idéale, femme cristal
Toi qui me lances un paquet de gentils mots
Tu sais te servir de tes jolis doigts
Toi qui me viens là-haut dans le midi
Tu sais te servir de tes jolies lèvres
Toi qui me lances un bouquet de je t'aime
Tu sais te servir de tes beaux mots d'amour
Toi qui me fais rêver tard dans la nuit
Tu sais te servir de ton joli corps
Femme du soleil, femme des rives profondes
Beauté naturelle, couleur de nos amours
Femme classique, femme des rubriques
Beauté naturelle, ange de nos humeurs
Femme aux fleurs, femme des îles, belles fleurs
Femme idéale, femme cristal
