Lyrics

"Je commence a être fatigué Jean Je crois que j'ai atteint la fin de ma vie de soldat Ils disent que, j'suis mal en point Ils disent que, j'suis atteint de mélancolie" Prépare les faire-part, j'ai mes enceintes qui accouchent de c'disque Le savoir est une arme et mon stylo fume, vu les cartouches que j'vide Descendant du pôle Nord, j'ai des contrats qu'à chaque seconde j'honore Avec un bic, une feuille, la résistance prépare sa bombe sonore C'est toujours autour du fric que leurs discours gravite Rien que dans ce titre, y a plus de punch que dans toutes leurs discographies Quand qu'j'crois que l'avenir s'éloigne, c'est flou, la zik me soigne, c'est fou Quand je sors un son, suffit que t'enfile ton casque pour que tu rejoignes mes troupes Je reprends du service, j'ai le respect des anciens combattants Mais y a des putes qui me disent, "pour rester vrai, reste en chien comme avant" Ils m'font bien rire, vos styles back les porcs, vos rimes gâchées Vos streams achetés et vos disques plaqués or Toujours en guerre, pas question que l'on signe l'armistice Certains font un tissu de mensonge et leur fibre artistique Sache que celui qui s'absentera aura tort (J'réponds présent quand on me dit) "Sol-Davodka au rapport" Colmar je défends mon clan personne me verra dériver Y a qu'une fois que j'ai tiré que tu réalises que la balle est dans ton camp (Colmar, je défends mon clan, personne me verra dériver Y a qu'une fois que j'ai tiré que tu réalises que la balle est dans ton camp) J'ai pas fait du rap pour cer-per, ça partait d'un délire entre frères Personne solidaire dans c't'enfer même déter, tu prends chère Tu t'enterres, donc c'est clair que j'ai l'air sur les nerfs Là, je lève mon verre pour les mecs en galère Sans salaires qui cherchent du printemps à l'hiver Qui se sentent du-per dans cette merde gros déter Et qui gèrent leur bateau sur du trois rivières Les déserteurs s'éloignent du son enrageant L'inspi' au garde-à-vous, mes textes témoignent de mon engagement Lorsque je parle de vérité à chaque rime, ça dérange fort Ça réveille leur cicatrice tout comme Harry face à des mangemorts Les groupes de nuit s'affaissent Mais voudraient-ils qu'ça cesse, des routes, et ils acquiescent Écoute les vitres s'abaissent Ces fous dehors s'écroulent sans doute des litres qu'ça saigne Mes troupes d'élites t'assiègent en toute délicatesse J'découpe mes couplets, vise la tête et shoot les lignes adverses Toujours au front J'ai l'air ferme même s'il faut que j'y passe (même s'il faut que j'y passe) On se fout de la force du nombre Eux c'est Xerxès, nous c'est Léonidas On lance l'assaut même quand l'ennemi nous barre le chemin Depuis ma première ligne, tu sais qu'j'suis pas un déserteur La mine de mon stylo restera mon arme de poing Et vu qu'on traverse des heures sombres, c'est sur ce son que je pars en éclaireur Colmar, je défends mon clan, personne me verra dériver Y a qu'une fois que j'ai tiré que tu réalises que la balle est dans ton camp (Colmar, je défends mon clan, personne me verra dériver Y a qu'une fois que j'ai tiré que tu réalises que la balle est dans ton camp) Colmar, je défends mon clan, personne me verra dériver Y a qu'une fois que j'ai tiré que tu réalises que la balle est dans ton camp (Colmar, je défends mon clan, personne me verra dériver Y a qu'une fois que j'ai tiré que tu réalises que la balle est dans ton camp) J'impose mon style (Davodka) T'as vu la maîtrise ma gueule Paris, capital du vice où j'essaye de prendre de l'ampleur J'impose mon style (Davodka) T'as vu ma maîtrise, ma gueule Paris, capital du vice où j'essaye de prendre de l'ampleur
Writer(s): Cyril Verdier Lyrics powered by www.musixmatch.com
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