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Strollad - Démocratie
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Credits

PERFORMING ARTISTS
Strollad
Strollad
Performer
COMPOSITION & LYRICS
Gaètan Penaud
Gaètan Penaud
Composer
Joris Murzeau
Joris Murzeau
Composer
Alexandre Normand
Alexandre Normand
Composer
Antoine Cas
Antoine Cas
Composer
Etienne Chrion
Etienne Chrion
Composer
Fabrice Guilloton
Fabrice Guilloton
Composer
Alexandre Billaud
Alexandre Billaud
Composer
Gerard Ansaloni
Gerard Ansaloni
Lyrics
David Jaulin
David Jaulin
Composer
PRODUCTION & ENGINEERING
Anthony Baizé
Anthony Baizé
Producer

Lyrics

Il faudrait dire au maître et prévenir le prince Qu'il nous importe peu qu'une telle province Soit désormais soumise aux feux et aux couteaux, Aux crimes d'innocents, aux meurtres de bourreaux. Qu'un virus concocté ait fait une bombance À se péter le ventre et la tripe et la panse Et qu'un ministre untel veuille qualifier l'art: Comment avez-vous dit? Stockhausen? Léonard? Qu'un virus concocté ait fait une bombance À se péter le ventre et la tripe et la panse Et qu'un ministre untel veuille qualifier l'art: Comment avez-vous dit? Stockhausen? Léonard? Il faudrait dire au maître et prévenir le prince Qu'il nous importe peu que misère se rince L'œil dessous les neuf ans des dessous enfantins Cependant que les dieux prennent visage humain. Il faudrait dire au maître aussi notre fatigue À l'écouter parler, un jour oui pour la ligue Et le lendemain non; il faudrait dire encor' Notre âcre lassitude, il faudrait dire encor'... Il faudrait dire au maître aussi notre fatigue À l'écouter parler, un jour oui pour la ligue Et le lendemain non; il faudrait dire encor' Notre âcre lassitude, il faudrait dire encor'... Il faudrait dire au maître et prévenir le prince Que dupes grand jamais, ne sommes de ces rince- Doigts, non plus que de pompe et de garden fla-flas. Le roi est toujours nu malgré notre apparat. Amuse-moi mon prince et distrais ma faiblesse. Va, de mon vaste ennui taille la sombre tresse; Je veux des jeux nouveaux, tu ne m'amuses plus, Je suis Démocratie, vulgaire et réélue! Amuse-moi mon prince et distrais ma faiblesse. Va, de mon vaste ennui taille la sombre tresse; Je veux des jeux nouveaux, tu ne m'amuses plus, Je suis Démocratie, vulgaire et réélue! Il faudrait dire au maître et prévenir le prince Qu'il nous importe peu qu'une telle province Soit désormais soumise aux feux et aux couteaux, Aux crimes d'innocents, aux meurtres de bourreaux.
Writer(s): Alexandre Billaud, Alexandre Normand, Antoine Cas, David Jaulin, Etienne Chrion, Fabrice Guilloton, Gaètan Penaud, Joris Murzeau Lyrics powered by www.musixmatch.com
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