De dépit, je regarde la nuit sempiternelle, sans doute aussi
Je ne suis pas seul dans la noirceur nacrée de cette aquarelle nocturne
C'est sans doute, pourquoi j'ai peur de mon destin vain
Perdu au milieu des astres blancs, nappés, d'une quiétude infinie
Qui sommes nous
Sans répit, je m'efface de ce noir terrible, obscur et vide
Comme cette fois, je suis seul face à la mort de cette aquarelle nocturne
Néanmoins, cela m'apaise de m'oublier, perdu face à l'infiniment grand
Drapé d'une question sans réponse
