Lyrics
Les keufs ont beau faire altères et abdos
Cela n'altère en rien mes propos
Leur desseins sont pleins de bavures
Leurs destins n'est qu'une rature
C'que j'ai vu au poste c'est dur, ils sont racistes et rudes
Y t'refont l'portrait comme une gravure
Quand ils te maltraitent en garde à vue
Si j'devais faire une lettre à des gars là-dessus
J'commencerais par y mettre une tof de ma fouille à nue
Désavouer leurs méthodes et tu finis le corps plein de métaux
Autour de moi se resserre l'étau j'reste indomptable comme Eto'o
Je viens pas du Bronx mais d'un ghetto
D'riches qui t'endoctrine très tôt
J'triche quand j'regarde pas mes torts
Dans l'fond j'suis qu'un amateur
Qui brille tel un météore, dans l'son j'suis qu'un émetteur
Egaré, effaré, l'âme éraflée
La mort akhi c'est tout c'que j'ai raflé
A crané, j'ai cramé, puis cané avant de me réincarner
Le jour où j'ai sorti un carnet, et écris des rimes acharnées
J'ai vu défiler les années, le bon Dieu m'avait réarmé
Ils font des abus qui m'ont poussé à bout
Mon son est un tabou qui les désabusent
Les condés j'accuse d'nous trainer dans la boue
Ces cons déjà m'usent dès qu'sur nous ils aboient
Ils font des abus qui m'ont poussé à bout
Mon son est un tabou qui les désabusent
Les condés j'accuse d'nous trainer dans la boue
Ces cons déjà m'usent dès qu'sur nous ils aboient
Y font qu'parler terrorisme, nous présentent une terre horrible
Voir des hommes aussi tristes me fait tomber de haut si vite
Y croient qu'les chats portent en eux le fardeau d'six vies
Moi j'prie pour la vie de mes frères syriens
Akhi dans un monde inondé d'choses immondes
Innommables et infécondes, c'est dur que l'on dénombre
Plus de fusillades contre les masses
Que de masses contre les fusillades
Plus d'armes qu'on livre, que de livres qui nous arment
Les attentats intentés tentent quelques fous
Mais tendent la majorité de la foule
Dans l'attente d'une guerre latente
C'est dent pour dent à tant d'endroits
Tendances de droite dans la danse des médias
L'immédiat nous transcende et nous met en trans
Pourtant le vin de la vie ne vaut rien sans divin
Sans dirham dire amen sans se faire évincer
Chaque jour je prie pour pas que je m'égare
Jusqu'à ce que j'brille j'reste sur mes gardes
Dans la vie on a pas les mêmes cartes
Et puis parfois les chemins s'écartent
Chaque jour je prie pour pas que je m'égare
Jusqu'à ce que j'brille j'reste sur mes gardes
Dans la vie on a pas les mêmes cartes
Et puis parfois les chemins s'écartent
Ils font des abus qui m'ont poussé à bout
Mon son est un tabou qui les désabusent
Les condés j'accuse d'nous trainer dans la boue
Ces cons déjà m'usent dès qu'sur nous ils aboient
Ils font des abus qui m'ont poussé à bout
Mon son est un tabou qui les désabusent
Les condés j'accuse d'nous trainer dans la boue
Ces cons déjà m'usent dès qu'sur nous ils aboient
Writer(s): Georges Clementz
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