Les cris du Fossoyeur

Tu sais, moi j'veux faire d'immenses choses Sans m'faire vivre un mensonge Dans une autre dimension Avant qu'le temps n'puisse s'en rendre compte J'ai l'épée, elle a le palais Comme deux voiles qui explosent Si seulement je savais qu'l'amour n'était pas qu'une prose Mais maintenant, ça y est, tout part de là, à quel point tu m'as relâché Ôter la Margiela, maintenant, j'ai tout pour un peu m'relaxer J'ai l'allure d'un félin, mais j'veux d'la thune, la romancer Ici, on fait qu'bédave, les temps sont durs, on fait que recommencer Ce soir, ils voudraient se voir dans la ville en débattre Mais si j'en parle, c'est pas qu'avec des mots Moi, ma conscience, j'la connais sans une faille Parce que j'contrôle les défauts depuis môme Avec démons, souvent j'me suis débattu Si tu savais comment c'était dur Aujourd'hui, j'suis l'roi de son monde et mon royaume Un ange m'a dit un jour "c'est la procédure" Des mots sad et t'as l'envie d'te voir ailleurs Moi, j'ai l'seum, c'est insensé, entends-tu le Fossoyeur? J'suis sec à ta santé, si les mots n'te conviennent pas On émerge, on réfléchit trop, au fond, on s'connaît pas J'suis dans l'cru et l'album de ma ville et je me fais, en boucle, écouter mes mélos J'suis dans la vallée, je marche sur la rive et le vent est absent pour éloigner les mots Je vois mes années qui devant défilent et qui lancent un défi pour réparer mes fautes J'aimerais tant consacrer mon amour à réparer mes défauts Pas celui des autres, merde, ça y est, j'y vois plus le bout Encore une année de passée sans s'être rapproché de vous Quand vous m'parlez, dans vos yeux, je ne vois qu'une image de loup Et quand j'repense au passé, ça y est, j'me dis qu'il m'mettra debout Mais maintenant, ça y est, tout part de là, à quel point tu m'as relâché Ôter la Margiela, maintenant, j'ai tout pour un peu m'relaxer J'ai l'allure d'un félin, mais j'veux d'la thune, la romancer Ici, on fait qu'bédave, les temps sont durs, on fait que recommencer Ce soir, ils voudraient se voir dans la ville en débattre Mais si j'en parle, c'est pas qu'avec des mots Moi, ma conscience, j'la connais sans une faille Parce que j'contrôle les défauts depuis môme Avec démons, souvent j'me suis débattu Si tu savais comment c'était dur Aujourd'hui j'suis l'roi de son monde et mon royaume Un ange m'a dit un jour "c'est la procédure" Des mots sad et t'as l'envie d'te voir ailleurs Moi, j'ai l'seum, c'est insensé, entends-tu le Fossoyeur? J'suis sec à ta santé, si les mots n'te conviennent pas On émerge, on réfléchit trop, au fond, on s'connaît pas J'suis dans l'cru et l'album de ma ville et je me fais, en boucle, écouter mes mélos J'suis dans la vallée, je marche sur la rive et le vent est absent pour éloigner les mots Je vois mes années qui devant défilent et qui lancent un défi pour réparer mes fautes J'aimerais tant consacrer mon amour à réparer mes défauts Pas celui des autres, merde, ça y est, j'y vois plus le bout Encore une année de passée sans s'être rapproché de vous Quand vous m'parlez, dans vos yeux, je ne vois qu'une image de loup Et quand j'repense au passé, ça y est, j'me dis qu'il m'mettra debout Qu'il m'mettra debout Qu'il- qu'il m'mettra debout Qu'il m'mettra debout Qu'il- qu'il m'mettra debout Qu'il m'mettra debout Qu- qu'il m- qu'il m'mettra debout Qu'il m'mettra debout Qu'il m'mettra debout (Mais maintenant, ça y est, tout part de là, à quel point tu m'as relâché) (Ôter la Margiela, maintenant, j'ai tout pour un peu m'relaxer)