Lyrics

Je suis ce corps, égaré. Soutenu sur le plan incliné, D'une montagne de cendres; Entrelacées de forêts et de lacs, Où résonnent les cloîtres, Et la solitude des sommets. Avalanches d'absence, Rouées de coups. Avant-goût de début, difficile. La gravité prend le dessus, Tel une flèche défaillante; Occupant l'inattendu, D'un grand ciel, cinéma. D'un grand ciel, cinéma. Les cierges dressés, Fondent en larmes; Moments reportés, Au mains de devis panoramiques. M'abandonnent. Depuis, je vois la vie en sombre. Possédée par le secret. Des portes fermées à clefs. À fleur de peau de tout, Un brouillard de colère m'envahit. Le coeur serré à double tour, Je me tus pour toujours. Je me tus pour toujours. Plainte alors l'évasion, Déchirantse autoroutes, Sauve-qui-peut! Défilements de bitume, Et d'imagination. Disparition fantôme, Ce ne sera pas la dernière; Ma vie n'est faite, que de ça. Disparition fantôme, Ma vie n'est faite, que de ça.
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