Credits
COMPOSITION & LYRICS
Baptiste Paul, Joseph Molle
Songwriter
Lyrics
De nature un peu stressé, du genre à trop penser, j'ai trouvé en elle un havre de paix
Elle sait accélérer mon cœur tout en me calmant
A fait de moi un homme meilleur que je n'l'étais avant de la rencontrer
Personnalité solitaire, retardataire pour exister elle a su venir me chercher, elle m'a égayé
A vu que je n'étais qu'à moitié éveillé, à présent pour me sentir en vie je n'ai même plus à essayer
Le mieux c'est qu'elle ne le fait pas exprès, n'a pas idée de ce qu'elle m'apporte au quotidien
Plus efficace que l'café du matin, ce bout de soleil me fait baigner dans un été indien
Si elle savait comme elle m'apaise
Chaque fois que sur moi elle appose ses baisers qui nous permettent d'entrer en osmose
Optimiste et rêveur, j'me prends souvent à n'vouloir qu'elle
Mais ma jeunesse, telle un écueil, me dissuade de dire de telles choses
Car peut être qu'elle en voudra d'autres que moi, (hé), même moi j'en voudrais d'autres que moi
Faut qu'j'profite d'elle avant qu'un autre le fasse pour moi,
Même si au fond elle ne pourra jamais trop côtoyer mes bras
Elle file entre mes doigts, chaque fois que je pense trop à ce qu'on sera
Inconcevable est le jour où l'on se rendra inconsolable
D'ici là, et que ce soit pour elle ou pour moi, je ferais tout pour nous construire des souvenirs imperméables
Je ne saurais jamais parfaitement la décrire, elle m'apparaît comme une couleur que je n'connais pas
A travers le prisme de ses nuances, je ressens ma dépendance à l'ivresse de cet état
Et nul ne saurait vraiment la décrire, car impossible de saisir l'essence même de son aura
Elle peint mon esprit de son unique coloris, et à présent, par son empreinte, elle fait partie de moi
Ma vision globale est altérée depuis que je suis sous le règne de sa réalité
Sensations décuplées, je suis comme un enfant, le cerveau bourré d'endorphine alliant insouciance et sérénité
Et je ne suis pas aveugle à ce qu'elle est, moi j'aime ses côtés un peu cons et même son côté un peu sombres
Mais je le suis dès qu'elle fait sentir sa présence
Elle prend la lumière à son compte, oblige le monde à la contempler depuis l'ombre
Et je me sens comme privilégié, quand elle me sert contre elle et qu'elle transperce mon être avec ses mots
Ils sont si simples et pourtant précieux, moi j'ai la pression dès que je veux lui en dire d'aussi beau
J'essaye tout d'même de pas être accro, car ça ne ferait que nous léser
Mais je ne peux m'empêcher de l'être un peu, quand seul son toucher suffit à me faire phaser
Je ne saurais jamais parfaitement la décrire, elle m'apparaît comme une couleur que je ne connais pas
A travers le prisme de ses nuances, je ressens ma dépendance à l'ivresse de cet état
Et nul ne saurait vraiment la décrire, car impossible de saisir l'essence même de son aura
Elle peint mon esprit de son unique coloris, et à présent, par son empreinte, elle fait partie de moi
Je ne saurais jamais parfaitement la décrire, elle m'apparaît comme une couleur que je ne connais pas
A travers le prisme de ses nuances, je ressens ma dépendance à l'ivresse de cet état
Et nul ne saurait vraiment la décrire, car impossible de saisir l'essence même de son aura
Elle peint mon esprit de son unique coloris, et à présent, par son empreinte, elle fait partie de moi
Writer(s): Baptiste Molle
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